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Questions fréquentes sur les Fat Pages

Une Fat Page (littéralement une page grasse - NdT) est un document HTML qui contient des informations destinées à être installées dans une base de données tournant sur une machine locale. Les données intégrées peuvent être du code de programmation, du texte, des outlines, des éléments d'interface utilisateur, ou des données binaires quelconques.

Pourquoi faire ça ?

Le but des Fat Pages est de simplifier le processus d'installation d'objets de petite taille, sans imposer au système local de gestion de fichiers l'enregistrement successif de plusieurs éléments, archives, dossiers ou fichiers. Les fichiers Read-me (lisez-moi) ne sont plus nécessaires, puisque le texte d'explication est inclus avec les données binaires.

Ceci rend possible l'écriture de scripts de mise à jour, qui visiteront différentes pages web pour en extraire les données intégrées, et utiliseront ces données pour effectuer la mise à jour.

Nous croyons que c'est un moyen de distribution de logiciels plus moderne, car il accroît l'universalité et le confort d'utilisation des navigateurs web. Il tire également avantage de l'accroissement de la puissance des outils de développement web.

L'autre raison pour laquelle nous avons fait les Fat Pages, c'est qu'il nous fallait un format de fichiers qui puisse fonctionner en même temps avec Windows et le système d'exploitation du Macintosh. Le Web nous a aidé à jeter un pont entre les différences de leur gestionnaire de fichiers.

Où les données de la Fat Page sont-elles stockées dans le document HTML ?

Les données sont insérées à l'intérieur d'un commentaire HTML qui peut être n'importe où dans la page. Mais pour une performance accrue il vaut qu'il soit en bas de la page, ou proche de sa fin. Cela permet à l'utilisateur de lire le texte pendant que les données insérées sont téléchargées.

À quoi ressemble un commentaire de Fat Page ?

Faites afficher la source de cette page par votre navigateur, et faites défiler le texte jusqu'en bas. Cette page contient un objet "Hello World" d'une ligne.

Que contient la première ligne du commentaire ?

La première ligne du commentaire contient le texte #fatPage suivi par un retour-chariot.

La seconde ligne dit #version 1, suivi d'un retour-chariot.

Ceci établit le schéma global. Chaque ligne commence par un #, suivi d'un nom, suivi d'une chaîne de caractères (string), suivi d'un retour-chariot.

Comment appelle-t-on ces trucs ?

On les appelle des Attributs.

Quels sont les attributs minimum pour que les données d'une Fat Page soient valides ?

Pour qu'une page soit Fat, elle doit contenir trois attributs : #adrPageData, #pageData, et #dataType.

Le commentaire peut contenir d'autres attributs, et c'est d'ailleurs le cas de ceux générés automatiquement par Frontier. Nous attendons et espérons pouvoir construire de nouveaux attributs dans l'avenir.

Qu'est-ce que #adrPageData ?

Une chaîne de caractères, dans une syntaxe compréhensible par l'application qui va extraire les données.

Pour une feuille de calcul, quelque chose comme R4C90 signifierait que les données doivent être stockées dans la cellule de la rangée 4, colonne 90.

Dans le cas d'une base de données hiérarchique, ça peut être quelque chose comme suites.html.ftpTable, ce qui indique que l'objet doit être stocké dans la cellule nommée ftpTable, de la table html de la table suites.

Qu'est-ce que #dataType ?

Une chaîne de caractères, indiquant à l'application destinataire comment les données doivent être traitées.

Nous utilisons les types MIME, ici. Dans Frontier, le type est de la forme application/x-frontier-zzzz. Les quatre derniers caractères identifient le type de l'objet dans la base de données de Frontier.

Si l'on poursuit avec l'exemple de la feuille de calcul, un type de formule, exprimé sous la forme application/x-maFormule, par exemple, indiquerait à la feuille de calcul d'évaluer l'expression. Si le type était text, la chaîne de caractères serait stockée dans la feuille de calcul, sans être évaluée.

Ce ne sont que des exemples. Nous respectons le format du type MIME, et comptons sur de nouveaux logiciels "routeurs" pour diriger sur l'application voulue les données voulues.

Qu'est-ce que #pageData ?

Une chaîne de caractères encodés en Base 64. Après décodage, le format des données est reconstitué sous la forme voulue par l'application qui va les recevoir.

Qu'est-ce que l'encodage Base 64 ?

C'est un format développé pour l'encodage MIME, utilisé sur l'Internet par le courrier électronique. Nous avons utilisé un format déjà existant, plutôt que d'en inventer un nouveau. De même, nous diffusons le code source en C de notre méthode d'encodage en Base 64.

Et à propos de la sécurité ?

Pour être en conformité avec les spécifications, aucun code n'est exécuté sur la machine du client tant que l'utilisateur ne l'a pas confirmé d'une manière claire -- comme en cliquant sur le bouton OK d'un dialogue de confirmation demandant si c'est OK pour exécuter du code sur le système local.

Dans l'exemple de la feuille de calcul, cela signifie que si une formule est ajoutée dans une feuille de calcul locale, cette formule ne sera pas évaluée sans la confirmation de l'utilisateur.

De plus, l'utilisateur doit avoir la possibilité d'enregistrer les données à un emplacement différent de celui définit par défaut. En conséquence, l'attribut #adrPageData n'est qu'une suggestion.

Si la destination choisie par l'utilisateur contient déjà des données de même nom qui seraient alors remplacées, cela nécessitera une nouvelle confirmation.

Quels navigateurs web sont compatibles ?

N'importe quel navigateur capable d'enregistrer une page web (au format source - NdT) sur un disque local est compatible.

Ceci inclut tous les navigateurs les plus utilisés.

Comment les outils de création peuvent-ils générer des Fat Pages ?

Si des outils de création veulent supporter les Fat Pages, nous essayerons de mettre au point des protocoles dépendants de la plate-forme, leur permettant de faire appel à un autre programme lors de la construction d'une page, pour intégrer le commentaire de Fat Page.

Pourquoi ne pas utiliser les balises META ?

Les balises META doivent se trouver dans la partie HEAD de la page. Ça obligerait l'utilisateur à attendre que les données intégrées soient téléchargées avant de pouvoir commencer à lire le texte de la page.

Et si la quantité de données intégrées est énorme ?

Elle ne devrait pas l'être. Les concepteurs de pages web devraient utiliser leur jugement et comprendre les contraintes de bande passante de leurs utilisateurs. Je ne pense pas que ce soit un problème d'intégrer un objet comparable à une GIF de taille raisonnable telle on peut en voir sur les sites les plus populaires, comme CNN, Microsoft ou HotWired. Dans la plupart des cas, un objet de moins de 100 Ko ne devrait poser aucun problème.

Pourquoi ne pas utiliser l'encodage Base 64 ?

Justement, on a changé d'avis et décidé de l'utiliser.

Le logo des Fat Pages vous fait-il penser à  Krusty le clown ?

Hmmmm.

Dave Winner UserLand Software Avril 1997 Révisé en : Février 1998

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